ESTEBAN 

par Nicolas Larriere 

CRUSH Magazine : Bonjour et merci de nous accorder cette entrevue. Tout d’abord, comment préfères-tu que l’on t’appelle ? Michael, David ou Esteban ?

Esteban : David ou Esteban, c’est comme tuv! Michael c’est une infox qu’y a écrit sur wikipedia, enfin j’crois 

CRUSH Magazine :  Comment vas-tu aujourd’hui ?

Esteban : Ca bang à fond (ca veut dire que ça va plutôt bien)

CRUSH Magazine :  Pour nos lecteurs qui aimeraient te connaître un peu mieux, pourrais-tu te présenter brièvement ?

Esteban : J’suis David Boring chanteur américain des Naive New Beaters et aussi Esteban acteur entertainer sympatoch’

CRUSH Magazine :  Peux-tu nous dire où tu résides actuellement ?

Esteban : Là j’suis à l’ile de la Réunion sur le tournage d’une comédie politique avec des vampires

CRUSH Magazine :  Entre ton métier de chanteur et celui de comédien, quel est celui qui te passionne le plus ?

Esteban : Les 2 sont trop biens, c’est une chance. La musique c’est quand même plus stressant mais ça procure plus d’émotions

CRUSH Magazine : Si tu n’avais pas embrassé une carrière dans le milieu artistique, vers quel domaine professionnel penses-tu que tu te serais orienté ?

Esteban : J’voulais être pongiste mais dès que j’commence à gagner, j’me mets à perdre, j’ai pas l’mental mais j’y travaille

CRUSH Magazine :  Y a-t-il un moment particulièrement insolite que tu te rappelles avoir vécu sur un plateau de tournage ?

Esteban : J’ai un souvenir assez fou du premier clip qu’on a tourné à Los Angeles « just another day »  lorsqu’on m’a fait danser sur un palmier a 15m de hauteur.

CRUSH Magazine : Qu’est-ce qui te touche le plus lorsque tu regardes un film ?

Esteban : Les moments « émotion » à l’américaine quand y’a pleins de gens qui se mettent à défendre une cause, a être d’accord avec qq’un, à se lever ensemble, tu vois l’genre de moments ? j’suis une proie facile

CRUSH Magazine : Avec quel(le) comédien(ne) aimerais-tu absolument partager l’écran avant la fin de ta carrière ?

Esteban : Avec mon chien « madgik » , j’essaie toujours de le refourguer sur les tournages mais aucun real l’accepte…

CRUSH Magazine : Quel était le groupe musical qui te passionnait le plus pendant ton adolescence ?

Esteban :  Queen

CRUSH Magazine : Y a-t-il un artiste en concert que tu regrettes de n’avoir jamais eu l’occasion de voir sur scène ?

Esteban : Queen

CRUSH Magazine :  Selon toi, quelle est ta principale qualité et ton principal défaut ?

Esteban : C’est un entretien d’embauche vot’ truc ?

CRUSH Magazine :  En tant que comédien, quel élément penses-tu être ta marque de fabrique ?

Esteban : Ma mère me dit souvent qu’on m’embauche pour être le bizarre du village, j’suis pas forcément d’accord avec elle…

CRUSH Magazine : Y a-t-il eu un projet artistique, un film ou une publicité que tu as réalisé mais que tu n’ assumes plus aujourd’hui ?

Esteban : Non, y’a eu des trucs plus durs à faire que d’autres que j’aurais pas hyper envie de refaire mais j’assume tout !

CRUSH Magazine : En dehors de ton travail, quelles sont tes passions ?

Esteban : La cuisine au chalumeau, la peinture a la résine et devenir un jour classé au tennis

CRUSH Magazine : L’aspect de la mode est-il important pour toi ?

Esteban : J’aime bien me démarquer par un look, j’aime la mode pour la créativité qu’elle impose mais je sais pas si j’ai bien répondu a la question.

CRUSH Magazine :  Quel est ton point de vue sur l’intelligence artificielle et son rôle dans notre société ?

Esteban :  Ça m’a aidé à remplir l’itw.

CRUSH Magazine :  Comment s’est déroulée ta collaboration avec notre production photo pour Crush Magazine au Verdé ? Y a-t-il un moment en particulier qui t’a marqué ?

Esteban :  C’était trop sympa, l’occasion de pleins de premières fois: première fois à mettre un fute en plastique rose, première fois à poser avec un balais brosse et son sceau intégré, première fois avec du eye liner vert que sur un œil.

CRUSH Magazine : Quel conseil donnerais-tu aux jeunes qui aspirent à se lancer dans l’industrie musicale ou cinématographique ?

Esteban :  J’ai mes p’tits proverbes que j’ai inventé:

Il faut se satisfaire de peu mais désirer toujours plus.

Il faut transformer son talon d’Achille en talent caché.

C’est dans les gites qu’il y a le sphinx (c’est pas un proverbe mais j’l’aime bien cette phrase)

CRUSH Magazine : Où pouvons-nous te retrouver dans les six prochains mois ?

Esteban : En tournée un peu partout avec les Naive New Beaters (Solidays le 30/06, l’Olympia le 26/11/2024) , sur MY TF1 avec « Benoit gênant officiel » et bientôt sur Netflix dans « Nice girls » de Noémie Saglio ! Le nouvel album des Naïve New Beaters FVTVRUM sort le 07 juin prochain ! 

CRUSH Magazine :  Merci infiniment pour cette entrevue et espérons te revoir très bientôt. Nous avons passé un excellent moment en ta compagnie.

Esteban : Merci pour le café allongé et le verre d’eau, c’était un chouette moment aussi!

Le fantôme de l’Opéra au Théâtre Antoine : quand la nuit se met à chanter

Le fantôme de l’Opéra au Théâtre Antoine : quand la nuit se met à chanter

Paris n’en finit jamais de se rêver en théâtre. Mais cet automne, c’est une autre ombre, plus ancienne, plus obsédante, qui viendra hanter la scène du Théâtre Antoine : celle du Fantôme de l’Opéra. Sous la plume de Benoît Solès et la direction de Julien Alluguette, le mythe renaît pour offrir une création musicale française, une relecture sensible et flamboyante du roman de Gaston Leroux, où la voix humaine devient miroir de l’âme.

Tempur

Tempur

Il y a des nuits qui vous redressent le dos et d’autres qui vous redressent la vie. Tempur appartient à cette seconde catégorie. Derrière son nom un peu futuriste se cache une promesse : celle d’un sommeil calibré comme une mission spatiale, doux comme un atterrissage sur la Lune.

« Le bourgeois gentilhomme » de Molière

« Le bourgeois gentilhomme » de Molière

Le Théâtre Antoine accueille cette saison une nouvelle version du Bourgeois gentilhomme mise en scène par Jérémie Lippmann, avec Jean Paul Rouve dans le rôle de Monsieur Jourdain. Le pari était audacieux : revisiter le chef d’œuvre de Molière sans le dénaturer, tout en y insufflant la fantaisie et l’énergie d’un spectacle total. Le résultat est éclatant : deux heures d’un théâtre à la fois foisonnant, drôle et profondément humain.

Cher Evan Hansen

Cher Evan Hansen

Dans l’ombre vibrante du théâtre de la Madeleine, Cher Evan Hansen déploie un univers fait de silence palpable, de mots suspendus et de musique qui nous touche directement. C’est une pièce qui ne cherche pas à impressionner par les artifices, mais à nous inviter, humblement, dans le monde intérieur de ses personnages.