Mozart mon amour 

Éditorialiste. Chroniqueur. Directeur de rédaction dans le passé avec dynamisme et une vraie sensibilité pour le lectorat féminin. Capable de donner un nouveau souffle à un site internet. Journaliste. Christophe Barbier est un littéraire qui aime l’histoire. Commenter. Poser des questions. Donner son opinion. Dévoiler ses certitudes. S’interroger. Créer des débats. La télévision. La radio. Un homme capable d’animer bien des émissions politiques avec une capacité à sensibiliser les néophytes aux missions des institutions en France.

« Multi casquettes » dit l’expression.
Metteur en scène. Comédien incarnant Paul Morand dans « Mademoiselle Chanel ». Christophe Barbier est aussi un auteur. Il a écrit par exemple le « Dictionnaire amoureux du théâtre ». Ou « Le monde selon Sacha Guitry ». 
« Le monde selon Molière ». Il apparaît aussi à la télévision ou sur le grand écran avec « Doutes », de Yamini Kumar. Ou « Profilage ». « Munch », ou « Le commissaire Magellan ».
Ce soir…Je sors à peine de la pièce «Mozart mon amour ». Au théâtre de Poche à Montparnasse, où l’ombre de Philippe Tesson est encore là, sur la scène illuminée. Lui qui aimait transmettre les beautés écrites par bien des artistes. 
Dans sa pièce, Christophe Barbier révèle son amour de l’opéra, de la musique en général, et toute l’insolence de Mozart, qui refusait les perruques, qu’il trouvait ridicules, semble encore planer dans cet écrin de Montparnasse. 
L’histoire ?
Cela fait 13 ans que Mozart est mort. Et le diplomate Von Nissen, qui adulait le grand compositeur, veut que le conseil impérial d’Autriche rétablisse le renom, presque l’honneur de Mozart.
Mais il n’est pas seul. Il a un argument de poids. Un atout. La veuve du prodige. Constanze (Pauline Courtin, admirable). Une Soprane sublime. Rome. Paris. La villa Médicis. Elle a chanté sur de grandes scènes. Au Châtelet. Au festival d’Aix en Provence. A Amsterdam. Florence. Saint Petersbourg. Bayreuth. Sa voix est un bijou. Une merveille. On passe alors de la joie à la tristesse au fur et à mesure des morceaux choisis avec soin. Les airs interprétés sur scène ? Ils sont un sortilège savoureux pour les oreilles. De quoi ravir les connaisseurs comme les amateurs.
  • Extrait de la Symphonie n°I
  • Variations sur Ah ! vous dirais-je maman ?
  • Extrait du Miserere d’Allegri
  • Air d’Aminta dans II re pastore
  • Air de Constanze dans L’Enlèvement au sérail
  • Deuxième air de Chérubin dans Le nozze di Figaro
  • Deuxième air de Zerlina dans Don Giovanni
  • Air de « Là ci darem la mano » dans Don Giovanni
  • Extrait du troisième mouvement de la Sonate n° 2 en fa majeur
  • Deuxième mouvement, adagio du Concerto n ° 23 pour piano et orchestre
  • Deuxième air de Despina dans Cosi fan tutte
  • Extrait de la Fantaisie n° 397 en ré mineur
  • Air de Pamina dans La Flûte enchantée
  • Début du « Lacrimosa » dans le Requiem
Mais n’oublions pas, dans cette histoire, l’élève de Wolfgang, alias Vadim Sher, (compositeur de « Shirley et Dino », « Matthias Langhoff », « Loin de Sunset Boulevard », « La fille et le fleuve ») dont le piano devient une arme supplémentaire. Pour défendre l’image du génie, il fallait sa musique ! 
Le public est envoûté par la musique dans la petite salle, pour réveiller l’âme de Mozart, les notes pour paroles. Les mélodies célèbres pour émouvoir. Pour reconnaître le talent. La beauté. Le mythe de ce prodige qui décède si vite. La postérité. Les œuvres qui font partie de l’histoire. Les airs qui restent dans nos mémoires. Il y a parfois, à travers cette voix superbe, une passion folle, aveugle, pour l’illustre compositeur. Virtuose que les viennois de l’époque ne pouvaient pas comprendre, peut-être. Sa musique séditieuse. Son air frondeur. Cela dérangeait. Sans doute. Et la flûte de l’endettement, elle, lui jouait un mauvais air. Un maléfice. Presque, déjà, un requiem. 
La musique est grandiose. Un parfum d’héroïsme est bien là. Dans l’atmosphère de ce spectacle malgré tout intimiste. 

« Avant, rien n’est acquis,

Après, rien n’est pareil », me dit Christophe Barbier lors de notre rencontre. C’est vrai. Je suis triste pour le fabuleux Mozart, que les créanciers harcelaient. Et qui en un espace de temps très court, va créer des œuvres titanesques. Mais son travail a résisté à l’épreuve du temps. Rien n’est pareil depuis Mozart…

 

Son âme chuchote presque sur la scène, à travers ce texte et ces chants. Et ce piano qui offre une pulsation magnifique. Des notes qu’on sifflote en sortant du Théâtre de Poche de Montparnasse. Je rentre chez moi. Des extraits de symphonie dans la tête. Des airs. Des mouvements qui touchent profondément notre cœur.
« Les Misérables » au Théâtre du Châtelet

« Les Misérables » au Théâtre du Châtelet

Cette comédie musicale dure 3 heures et fut originellement produite sur scène à Londres et à Broadway par Cameron Mackintosh.
Un Livret d’après le roman de Victor Hugo. Adapté par Trevor Nunn et John Caird.
La musique, sublime, est de Claude-Michel Schonberg.
La mise en scène de Ladislas Chollat est judicieuse, s’adaptant à tous les éléments visuels et sonores. Les artistes venant jusque dans la salle.

Deborah Leclercq : la tendance musicale à suivre.

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J’ai découvert Deborah Leclercq au Théâtre Michel. Dans « ma version de l’histoire », de Sébastien Azzopardi. Une vraie prestation pour ce personnage armé d’une guitare et de bien d’autres atouts qui mettent la pagaille dans un couple en galère. Un vrai talent pour la comédie.

Je sais que cette disciple de l’école Claude Mathieu a joué aussi dans « Le tour du monde en 80 jours », ou « Au bonheur des dames ».

Mais ce qui m’avait également surpris à la fin de la pièce, c’est le moment où elle a chanté.

« In Portifino I found my love »…je m’en rappelle encore.

Sa voix. La douceur et la gravité. Son aisance avec la guitare. Le public silencieux et, comme moi, bluffé.

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