Tranoi et Boris Provost : L’alchimie créative au service de la mode contemporaine.

Au cœur de la capitale mondiale de la mode, Paris, il est un événement qui incarne à la fois l’avant-garde, la rigueur esthétique et la passion des créateurs : Tranoï. Depuis son origine, ce salon s’est imposé comme un rendez-vous incontournable de la scène mode internationale.

Mais c’est depuis l’arrivée de Boris Provost à sa tête en 2019 que Tranoï a véritablement trouvé un second souffle, devenant une vitrine stratégique pour la création contemporaine, une plateforme d’expression artistique et un trait d’union puissant entre designers émergents et acheteurs du monde entier.

Une vision renouvelée pour un salon iconique

Lorsque Boris Provost reprend les rênes de Tranoï, le défi est immense : redonner du sens à un salon en quête de repositionnement face à une industrie en pleine mutation. Fort de son expérience dans l’événementiel, la culture et la mode (notamment à la direction stratégiques des salons Who’s Next et Première Classe, ou chez Reed Expositions à la direction de Equiphotel), il insuffle une énergie nouvelle au projet. Sa ligne directrice est claire : faire de Tranoï une référence en matière de création indépendante, exigeante et internationale.

Rapidement, les résultats se font sentir. La sélection des exposants devient plus rigoureuse, plus pointue, mettant en lumière des marques à forte identité, souvent issues de scènes créatives peu représentées. Des noms comme Isnurh, MAM, T-Coat ou encore Radica Studio y trouvent un écrin idéal pour exposer leur univers. Le salon attire à nouveau l’attention des acheteurs les plus exigeants, des concept stores aux grands magasins, en passant par les plateformes digitales.

Un artisan du rayonnement international de la création

Boris Provost ne se contente pas d’un retour à la qualité : il veut faire de Tranoï une marque internationale, capable de refléter la diversité de la création contemporaine. Ainsi, le salon tisse des partenariats stratégiques avec Première Vision en rejoignant le groupe GL Events en 2020 et s’exporte en s’implantant à Tokyo en 2024.

Cette ouverture internationale est pensée avec intelligence : elle repose sur une curation artistique exigeante, un ancrage local fort, et un dialogue constant entre cultures et savoir-faire.

Tranoï devient alors une passerelle entre les continents, un tremplin pour les jeunes labels cherchant à se développer à l’export. Ce positionnement singulier, entre rigueur professionnelle et sensibilité artistique, permet au salon d’atteindre un nouveau palier en termes de notoriété et de légitimité.

Une plateforme d’expression pour les créateurs de demain

Tranoï, sous la direction de Boris Provost, se veut aussi une pépinière de talents. Le salon accorde une place importante aux jeunes marques, souvent encore inconnues du grand public, mais dotées d’une vision forte. En les accompagnant dans leur développement, en les confrontant au marché international, Tranoï joue un rôle clé dans l’émergence d’une nouvelle génération de designers.

Ce soutien ne se limite pas à une présence sur les stands. Il prend la forme de mentorat, de conseil stratégique, de mise en relation avec des partenaires et distributeurs, créant un véritable écosystème propice à la croissance et à l’audace.

Un leadership humain, inspiré et fédérateur

Si Tranoï rayonne autant aujourd’hui, c’est aussi grâce à la personnalité de son directeur. Boris Provost est un visionnaire discret, à l’écoute, toujours attentif aux mutations du secteur, aux attentes des créateurs comme à celles des acheteurs. Il défend une mode engagée, humaine et émotionnelle, où l’histoire que raconte une pièce est aussi importante que sa coupe ou sa matière.

Sous son impulsion, Tranoï n’est plus seulement un salon professionnel : c’est devenu un lieu d’échange, de rencontre, d’inspiration, où la mode retrouve tout son sens, sa portée artistique et sociale. Il parvient à fédérer autour de lui une équipe solide, des partenaires de renom et surtout une communauté de créateurs fidèles.

Aujourd’hui, Tranoï est plus qu’un salon : c’est une expérience, une vision, une voix dans le paysage de la mode mondiale

Grâce à la direction éclairée de Boris Provost, il est redevenu ce qu’il n’aurait jamais dû cesser d’être : un laboratoire de création, un carrefour des cultures, un incubateur de talents.

Loin des logiques purement commerciales, Tranoï incarne une certaine idée de la mode : libre, exigeante, connectée au monde. 

Et c’est dans cette démarche ambitieuse, entre enracinement parisien et ouverture au monde, que Boris Provost inscrit sa réussite – discrète mais indéniable – à la tête de l’un des événements les plus inspirants de la fashion week.

Le fantôme de l’Opéra au Théâtre Antoine : quand la nuit se met à chanter

Le fantôme de l’Opéra au Théâtre Antoine : quand la nuit se met à chanter

Paris n’en finit jamais de se rêver en théâtre. Mais cet automne, c’est une autre ombre, plus ancienne, plus obsédante, qui viendra hanter la scène du Théâtre Antoine : celle du Fantôme de l’Opéra. Sous la plume de Benoît Solès et la direction de Julien Alluguette, le mythe renaît pour offrir une création musicale française, une relecture sensible et flamboyante du roman de Gaston Leroux, où la voix humaine devient miroir de l’âme.

Tempur

Tempur

Il y a des nuits qui vous redressent le dos et d’autres qui vous redressent la vie. Tempur appartient à cette seconde catégorie. Derrière son nom un peu futuriste se cache une promesse : celle d’un sommeil calibré comme une mission spatiale, doux comme un atterrissage sur la Lune.

« Le bourgeois gentilhomme » de Molière

« Le bourgeois gentilhomme » de Molière

Le Théâtre Antoine accueille cette saison une nouvelle version du Bourgeois gentilhomme mise en scène par Jérémie Lippmann, avec Jean Paul Rouve dans le rôle de Monsieur Jourdain. Le pari était audacieux : revisiter le chef d’œuvre de Molière sans le dénaturer, tout en y insufflant la fantaisie et l’énergie d’un spectacle total. Le résultat est éclatant : deux heures d’un théâtre à la fois foisonnant, drôle et profondément humain.

Cher Evan Hansen

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Dans l’ombre vibrante du théâtre de la Madeleine, Cher Evan Hansen déploie un univers fait de silence palpable, de mots suspendus et de musique qui nous touche directement. C’est une pièce qui ne cherche pas à impressionner par les artifices, mais à nous inviter, humblement, dans le monde intérieur de ses personnages.