Designer et architecte Clémentine d’Aspremont-Menayas

Pouvez-vous vous présenter ?

Je suis designer, artiste et architecte DPLG, agréée dans l’État de New York, en France et en Belgique.

Quel est votre parcours ?

J’ai travaillé aux États-Unis à San Francisco et New York pendant 12 ans avant de fonder en 2012, à Paris et Bruxelles, mon agence sous l’acronyme CDA Studio. Je construis et rénove des espaces commerciaux, des bureaux et des espaces résidentiels à Paris, Bruxelles, New York et San Francisco et j’ai réalisé le luxueux showroom d’Alexander Wang à Paris.

Dans ma pratique de l’architecture, j’ai conçu du mobilier ce qui me conduis aujourd’hui à lancer Avao, ma première ligne de mobilier en bois cintré et en cuir.

Photographe : © Mario Simon Lafleur

Quelles sont vos sources d’inspiration ? Pourquoi avoir nommé cette collection Avao ?

Pour cette collection mes sources d’inspirations sont des classiques modernistes tels que la chaise Cantilever S 533 L de Mies van der Rohe et la chaise Cantilever de Marcel Breuer.

Je voulais un nom court, lisible dans beaucoup de langues et qui exprime le côté chaleureux et courbe de ma collection. Après quelques essais, Avao m’est apparu comme une évidence.

Photographe : © Mario Simon Lafleur

Pourquoi avoir choisi le bois et le cuir ?

Je les ai choisis car ce sont des produits que j’apprécie beaucoup esthétiquement, qui sont intemporels et naturels.

C’était important pour vous de réaliser une collection made in France ?

Le fait de produire local et de contribuer au développement économique de mon pays est bien sûr important pour moi. Pour être honnête, le Made in France n’était pas au départ dans mes plans. Mes prototypes étant réalisés par Viesturs Kriskalns, un ami en Lettonie, je suis dans un premier temps allée voir dans ce pays une société de production que connaissait Viesturs. Cette dernière ne montrait aucune flexibilité et n’acceptait de produire ma collection que si j’utilisais des matériaux plus basiques: ex des feuilles de bois cintres beaucoup plus fines et dans une seule finition. J’ai alors commencé à faire des recherches dans différents pays européens et ai été séduite par Cardineau qui se trouvait être en France. J’ai donc fait du Made in France parce que c’était le meilleur choix pour ma collection.

Photographe : © Mario Simon Lafleur

Quel a été votre plus grand défi pour cette collection ?

Clairement la production ! Je n’aurais jamais imaginé que pour un meuble j’aurais besoin de réunir 7 ateliers différents ; 1 pour faire le bois cintre, 1 pour la finition du bois, 1 pour le cuir, 1 pour les attaches en laiton, 1 pour les tiges filetées en inox, 1 pour les tiges en laiton et 1 pour le montage.

Maire Ariel Weil

Photographe : © Dario Ruggiero

À propos 

Clémentine d’Aspremont-Menayas est à la fois designer, artiste et architecte DPLG, agréée dans l’État de New York, en France et en Belgique.

Clémentine a travaillé aux États-Unis à San Francisco et New York pendant 12 ans avant de fonder en 2012, à Paris et Bruxelles, son agence sous l’acronyme CDA Studio. Elle construit et rénove des espaces commerciaux, des bureaux et des espaces résidentiels à Paris, Bruxelles, New York et San Francisco et a notamment  réalisé le luxueux showroom d’Alexander Wang à Paris.

Dans sa pratique de l’architecture, Clémentine d’Aspremont-Menayas a conçu du mobilier ce qui la conduit aujourd’hui à lancer Avao, sa première ligne de mobilier en bois cintré et en cuir.

Ma version de l’histoire ! Du bonheur !

Ma version de l’histoire ! Du bonheur !

Pour l’auteur et comédien Sébastien Azzopardi, le plus important, c’est que le texte, une fois digéré par les acteurs, après avoir travaillé en amont, puisse recevoir cette énergie, cette humeur. Car c’est une comédie où évoluent de vraies personnes. Et c’est ce qui touche les gens.

J’ai été tellement surpris par cette pièce. Je pensais au départ que le mari était un banal menteur prêt à tout pour tromper sa femme. Je me trompais. Celle-ci cache bien son jeu. Mais bien entendu, c’est aux spectateurs de se faire leur opinion. Il est vrai que c’est une femme complexe. On a tous des secrets, avec nos colères, nos déceptions, nos bonheurs, nos compromis. Vis à vis de l’autre et de nous mêmes. Vis à vis des valeurs que nous défendons. Donc oui, ces personnages ne sont pas lisses, selon Sébastien Azzopardi.

Nous créons votre magazine, pour votre clientèle

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Charlie Paris

Charlie Paris

Cela fait 10 ans que cette maison d’horlogerie existe. Je découvre la boutique un peu par hasard. Je suis bien accueilli. Je fais le tour des présentoirs. Et je me rends vite compte que ce sont des montres de qualité, conçues pour durer. Fabriquées en France. Dont j’ai alors la chance de visiter l’atelier où des composants sont sélectionnés puis assemblés.
Un design sobre et efficace. Un savoir-faire local pour cet atelier parisien. Des horlogers d’expérience qui fabriquent professionnellement, devant moi, à la main, ces petites merveilles. Une cigogne sublime orne chaque montre. Un véritable nid de beautés.

Le cercle des poètes disparus au Théâtre Antoine 

Le cercle des poètes disparus au Théâtre Antoine 

Le cercle des poètes disparus au Théâtre Antoine. Un grand moment.

J’avais vu le film. Comme beaucoup de personnes. J’étais intrigué par l’adaptation théâtrale.
Mais quand je suis entré dans le théâtre, j’ai aussitôt basculé dans l’histoire. L’ambiance musicale. Les acteurs qui cherchent une classe en s’adressant aux spectateurs dans la salle, jusque dans les étages. Un petit concert semble s’improviser. Les spectateurs montent sur scène et dansent. Spectacle avant l’heure.

Les raisins de la colère 

Les raisins de la colère 

Je suis sorti de cette interview en étant vraiment impressionné.
L’adaptation théâtrale était loin d’être évidente. Et c’est une réussite. Sur la route 66, dans l’Amerique des années 30 qui, sur bien des points, connaît des problématiques similaires à la nôtre. Comme par exemple les problèmes d’eau. Les problèmes économiques et sociaux. Les migrations. La police sur les dents. Les voyageurs qui sont stigmatisés. Comme beaucoup de Okies (habitants de l’Oklahoma) qui voulaient un futur, un sol à semer.

Les diaboliques

Les diaboliques

C’est Nicolas BRIANÇON qui met en scène cette pièce. D’après Jules Barbey d’Aurevilly. Le texte est de Christophe Barbier. Avec Gabriel Le Doze. Magali Lange. Krystoff Fluder. Reynold de Guenyveau.

Christophe Barbier s’intéresse à cette œuvre symbolique. La question de la morale se pose alors. Tromper l’autre. La dépravation. Meurtre. Bassesses. Désirs dévorants. Vice.
4 acteurs diaboliquement énergiques nous poussent à réfléchir. Faut il interdire le recueil « les diaboliques » ?

Mademoiselle Bio. Le partage d’un savoir-faire !

Mademoiselle Bio. Le partage d’un savoir-faire !

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